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Presse autour de Projet D.I.

PRESSE


PROJET D.I. A AVIGNON
Projet D.I. est une belle performance danse et image improvisées du 7 au 25 juillet 2012 au festival d'Avignon 2012



LA LIGNE DE GIULIETTA # 06 : PROJET D.I. : UN DUO (ELECTRO) CHOC
Publié par lefilduoff le 22 juillet 2012


Le corps de Delphine Dolce et les images de Lionel Palun tissent le fil d’une histoire commune.
Une histoire où chacun des interlocuteurs improvise et impose ses mouvement au rythme d’une bande-son électro, créée à partir de la transformation physique du signal vidéo en signal sonore.

Un projet d’expérimentation où la vidéo trouve (enfin!) sa juste place, l’image devient lumière et la danse évolue avec virtuosité à travers les reproductions constantes de sa même icône.

Un pari réussi !

Giulietta Romeo
LABEL OFF ® : spectacle recommandé par lebruitduoff.com

 

REPORTAGE TÉLÉVISÉ

Reportage du magazine culturel TINTAM'ART de Damien Borrelly sur France 3 Grenoble (1 Février 2008).



COMPTE-RENDU
Patrick Verroust | le 27 juin 2010
http://lunettesrouges.blog.lemonde.fr/2010/06/26/le-ciel-a-nos-pieds/

J’ai assisté dans un lieu de résidence pour artiste « Au Pot au noir » dans le Vercors à une performance étonnante qui m’a semblé ouvrir la voie à un travail plasticien annonciateur d’une ère nouvelle dans l’expression chorégraphique. Il s’agit de projet DI porté par un duo,Delphine Dolce, danseuse, et Lionel Palun, électro-vidéaste. Il fabrique en improvisation , une création à la grammaire chaque fois renouvelée, qui unit dans des tableaux éphémères , une relation entre le corps , l’image virtuelle et les sons produits durant l’œuvre de création. Les trois sont indissociables. Le corps a besoin de l’image pour exister, l’image a besoin du corps. Le son est le flux mystérieux qui vient impulser l’élan créateur.
Le spectacle avec son parti pris d’improvisation a quelques lourdeurs. J’ai eu du mal parfois à me situer, savoir si le réel était l’image virtuelle ou le corps chorégraphiant, les allers retours entre le réel et le virtuel déroutent au début. puis j’ai été aspiré par les jeux entre le corps et un rectangle de lumière , par les ombres et les éclairages , par les ellipses singulières du corps et de l’image par la relation étrange entre les bruits produits par le travail dont les sons viennent former des images, une étrange partition que des musiciens pourraient déchiffrer. J’ai perçu quelques moments magiques , en particulier quand l’image vient s’emparer du corps, le déstructurer,le désarticuler, l’emprisonner mais aussi l’agrandir l’emmener dans un univers infini. L’imaginaire s’éveille, alors, d’une façon , tellement novatrice qu’il a du mal à prendre forme à s’identifier à une image mentale connue mais qui a envie de naître. J’ai ressenti le besoin d’un langage de mots pour accompagner le travail en cours, pensées poétiques en gésine, mots portés et emportés par l’image, mots signifiés par une poésie sonore. L’étrange de l’affaire , est qu’au moment où je me débattais avec cette idée, cette envie ce désir, la danseuse s’est réappropriée la lumière domptant le virtuel , réaffirmant la primauté de son corps en tant qu’être. Elle s’est servi de la torche qui l’éclairait comme d’un micro pour articuler des mots muets qui ne voulaient ou ne savaient pas se dire. Cette confrontation entre le réel et le virtuel, entre le physique et le numérique est épuisante pour les deux acteurs, tout particulièrement,pour la danseuse bien sur. Ma culture est trop pauvre pour dire s’ils font un travail de pionniers ou s’ils suivent des voies déjà tracées. J’ai trouvé qu’il y avait des cousinages avec des films comme « OZ » « Paprika » « Summer Wars »
Je n’ai pas le sentiment d’avoir assisté à un spectacle de danse, à une chorégraphie assistée par ordinateur mais plutôt d’avoir vu se créer sous mes yeux une œuvre d’art plastique. J’ai eu le sentiment de voir une entrée simple dans le monde visuel, sonore , virtuel tel qu’il est aujourd’hui. Leur démarche est simple, aux antipodes des performances torturées qui sont un peu tendance. Il y a quelques raisons à être mal dans sa peau mais quelquefois , cela à l’apparence d’un discours convenu. Leur performance signe une entrée subtile et simple à la fois dans un monde nouveau un univers définitivement, électro acoustique, nomade et numérique. Il l’apprivoise et le maitrise avec une fraicheur, que j’oserai, qualifiée d’adolescente. Je ne sais pas ce qu’ils deviendront mais je suis persuadé qu’une foule de créateurs vont s’engouffrer sur le chemin ainsi dessiné.
Je pense depuis longtemps que les frontières entre salle de spectacle et centres d’art contemporains s’estompent que certaines créations seraient à jouer dans ces lieux dédiés aux arts plastiques.
J’aime être dérangé par un spectacle. Nombre d’artistes jouent sur des fibres pas très nettes. Ils ont parfois raison, mais, derrière de beaux discours ils se situent ,quelquefois, à mes yeux dans la tradition des spectacle horrifiants de la foire du trône et de ses « freaks ». Le projet DI dérange, en douceur, parce qu’ils entrouvrent les fenêtres d’un monde bien présent mais qui reste à décrypter. Ils ont créé une forme éphémère qui pourrait ne jamais avoir de fin .Delphine Dolce et Lionel Palun ouvrent des horizons imaginaires que je soupçonnais, que je voulais voir naître, ils ont réussis à concrétiser chez moi des images mentales en jachère, je les en remercie.
En plus ce soir là, la cuisinière qui officiait au « pot au noir » ce soir là offrit un repas indien succulent.




EXTRAIT D'UN ARTICLE DU DAUPHINÉ LIBÉRÉ DU 12 JANVIER 2012 SUR LA PROGRAMMATION DE LA SOURCE

 
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